“Démystifier l’éveil” est un weekend sur deux journées autour d’intervenants qui partagent une vision simple, vivante, drôle, touchante de l’éveil. Nous avons voulu réunir ces nouveaux témoignages de gens "ordinaires" car ils sont tous avec ce goût de la “simplicité”.

Deux journées de rencontres pour abandonner, peut être, cette idéalisation d’un éveil parfait, différent de ce qui est. La réalisation du soi, n'est pas vivre dans un état mystique ou bien obtenir des pouvoirs particuliers ou encore améliorer la vie du personnage.

 L'éveil est accessible à tous et toutes mais il n'est pas non plus synonyme d'un nouveau monde parfait, de l'apparition d'une vie toute rose...

La réalisation du soi se vit dans la simplicité du quotidien, dans le regard qui se porte et dans cette confiance qui émerge de soi. L’enjeu de l’amélioration de la vie du personnage n’est plus. Réaliser sa véritable nature, cette reconnaissance en toute chose, fait disparaître d’elle-même cet élan vers l’amélioration. Il n’y a plus rien à “changer” seulement vivre pleinement la vie telle qu’elle est.

Vivre l’émotion telle qu’elle est, vivre les événements tels qu’ils sont, déposés dans cette confiance et cette paix. Le personnage n’est pas rejeté, il est là simplement, totalement intégré à l’expérience, aimé pour ce qu’il est. 

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Ces deux jours de rencontres aux côtés de Thibault Arbre, Marisol Blaye,  Antony Béraud,

Lou Anne, Caroline Pol, Elvira, sera l’occasion d'échanger tous ensemble de les faire participer à des tables rondes et  de confronter leur vision avec  l’idée souvent caricaturale de l’éveil spirituel. 

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Nous aborderons notamment les thèmes suivants :  
“La réalisation du Soi est elle un but en soi ?”  “Au final les conditionnements et les failles de l’humain sont elles embrassées?“ ”Y a t-il quelque chose à atteindre ou attendre ?” “Le terme illusion amène souvent à rejeter la vie du personnage, pourquoi ?”  “Pourquoi l’image des maîtres peut-elle créer une comparaison et une complexité pour le chercheur ? “ “La vie continue-t-elle, telle qu’elle est ?”

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